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07 04 2018 Claude Labescat

Quand un homme  simple s'en va

Bien au-delà de nous-autres

Quand un homme vient à nous manquer

il reste le choc

Le son d'un cri qui se tait

Un halo plane ne s'éloigne pas.

 La présence et l'absence d'un coup s'annulent

La chair est convoquée

s' imposent des articulations, ça chuchote

De force, une force

Le déjà connu vient soutenir

Cette solitude de l'inconnu de l'à venir

Les proches de lui parlent de lui

Fut il chanteur de textes

Cette passion  pour la sophrologie appliquée à la gérontologie

Qu'il portait en hommage à sa mère, 

Déchirure de bien des exils,  sensibilité au lien

Sans nostalgie régressive

Homme de parole et de mouvements

Bon camarade 

Complicité vivante et honnête

Une lettre écrite 

pour m'aider

fallait s'engager

De son nom, le seul

Claude Labescat

Je  l'en remercierai 

Pour l'instantanéité d'éternité

qui l'habitait 

qui l'habitait

déjà 

 

Nathalie Guillot, née Vedel 

 

Sophrologue, phénoménologue (73)

Ancien membre actif du Syndicat National des Sophrologues 

 

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